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Bienvenue sur LE SITE DE LA FCPE DU LYCEE RENEE BONNET |
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Les 10 dernières nouvelles |
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Fermeture de deux 1/2 sections ?
- par FCPE
le 24/12/2010 @ 13:35
Voici le contenu du courrier addessé au recteur de l'académie de Toulouse, au sujet de la suppression deux 1/2 sections pour l'année 2011-2012.
Lettre de l'équipe pédagogique au recteur :
______________________________________________________________________________________________________________
Toulouse, le 16 décembre 2010
L’équipe pédagogique du lycée Renée BONNET.
à l’attention de Monsieur Olivier Dugrip,
Recteur de l’Académie de Toulouse.
S/C de Monsieur l’Inspecteur d’Académie.
S/C de Monsieur le Proviseur du lycée
Renée Bonnet.
Envoi direct vu l’urgence, lettre par voie
hiérarchique suit.
Objet : Demande d’audience à Monsieur le Recteur concernant la suppression d’une demie
section de bac pro E.D.P.I.
Monsieur le Recteur,
L’équipe pédagogique du lycée professionnel Renée Bonnet vient d’apprendre ce 13
décembre 2010, l’intention du rectorat de Toulouse de supprimer une demie section de
baccalauréat professionnel Technicien d’Usinage et une demie section de baccalauréat
professionnel Etude et Définitions de Produits Industriels.
Nous ne pouvons rester indifférents devant une décision qui nous paraît hâtive et
injuste sur plusieurs points.
La formation E.D.P.I est présente dans notre établissement depuis près de vingt ans,
et aujourd’hui le lycée Renée Bonnet représente la seule offre de formation au métier de
dessinateur industriel de l’académie, après les fermetures des sections de Rodez et d’Albi.
De plus, elle ouvre l’accès à un diplôme du secteur industriel à un public féminin et permet
de contribuer à la mixité sociale et à la parité filles/garçons, facteurs de stabilité au sein de
l établissement. Cette formation est choisie en premier voeu par la quasi-totalité des élèves
inscrits et si cette année le taux de pression est un peu plus faible, nous pouvons l’imputer à
la moindre visibilité de cette formation au sortir de troisième, le vivier antérieur étant
constitué d’élèves de BEP.
En outre, les cours sont assurés par une équipe stable d’enseignants dévoués, les
élèves disposent d’un enseignement adapté, en lien avec les entreprises du bassin
s’appuyant sur de multiples projets. Nous soulignons le fait que cette section a obtenu près
de 92% de réussite au baccalauréat professionnel sur les sept dernières années, qu’elle
alimente les sections de techniciens supérieurs CPI de l’académie et qu’une passerelle avec
l’IUT a été créée afin de faciliter la réussite des meilleurs éléments.
Les élèves diplômés s’insèrent professionnellement dans les entreprises liées au secteur
des transports et de la maintenance, au secteur des structures métalliques et au design
industriel reposant sur de solides bases techniques, entreprises qui sont autant de lieux de
stages potentiels….
Forte de ces arguments et désireuse de les partager avec vous, avant que les décisions
finales soient prises, l’équipe pédagogique E.D.P .I sollicite de votre haute bienveillance une
audience.
Nous vous remercions par avance de l’attention portée à ce dossier et vous prions d’agréer,
Monsieur le Recteur, l’expression de notre plus haute considération.
L’équipe pédagogique E.D.P.I du lycée Renée Bonnet
Copie envoyée à Mr Hespel IEN Génie Mécanique Construction, Mr Salon représentant
FCPE, Mr Font, secrétaire académique du SNETAA.
... / ... 
Voici le contenu du courrier addessé au recteur de l'académie de Toulouse, au sujet de la suppression deux 1/2 sections pour l'année 2011-2012.
Lettre de l'équipe pédagogique au recteur :
______________________________________________________________________________________________________________
Toulouse, le 16 décembre 2010
L’équipe pédagogique du lycée Renée BONNET.
à l’attention de Monsieur Olivier Dugrip,
Recteur de l’Académie de Toulouse.
S/C de Monsieur l’Inspecteur d’Académie.
S/C de Monsieur le Proviseur du lycée
Renée Bonnet.
Envoi direct vu l’urgence, lettre par voie
hiérarchique suit.
Objet : Demande d’audience à Monsieur le Recteur concernant la suppression d’une demie
section de bac pro E.D.P.I.
Monsieur le Recteur,
L’équipe pédagogique du lycée professionnel Renée Bonnet vient d’apprendre ce 13
décembre 2010, l’intention du rectorat de Toulouse de supprimer une demie section de
baccalauréat professionnel Technicien d’Usinage et une demie section de baccalauréat
professionnel Etude et Définitions de Produits Industriels.
Nous ne pouvons rester indifférents devant une décision qui nous paraît hâtive et
injuste sur plusieurs points.
La formation E.D.P.I est présente dans notre établissement depuis près de vingt ans,
et aujourd’hui le lycée Renée Bonnet représente la seule offre de formation au métier de
dessinateur industriel de l’académie, après les fermetures des sections de Rodez et d’Albi.
De plus, elle ouvre l’accès à un diplôme du secteur industriel à un public féminin et permet
de contribuer à la mixité sociale et à la parité filles/garçons, facteurs de stabilité au sein de
l établissement. Cette formation est choisie en premier voeu par la quasi-totalité des élèves
inscrits et si cette année le taux de pression est un peu plus faible, nous pouvons l’imputer à
la moindre visibilité de cette formation au sortir de troisième, le vivier antérieur étant
constitué d’élèves de BEP.
En outre, les cours sont assurés par une équipe stable d’enseignants dévoués, les
élèves disposent d’un enseignement adapté, en lien avec les entreprises du bassin
s’appuyant sur de multiples projets. Nous soulignons le fait que cette section a obtenu près
de 92% de réussite au baccalauréat professionnel sur les sept dernières années, qu’elle
alimente les sections de techniciens supérieurs CPI de l’académie et qu’une passerelle avec
l’IUT a été créée afin de faciliter la réussite des meilleurs éléments.
Les élèves diplômés s’insèrent professionnellement dans les entreprises liées au secteur
des transports et de la maintenance, au secteur des structures métalliques et au design
industriel reposant sur de solides bases techniques, entreprises qui sont autant de lieux de
stages potentiels….
Forte de ces arguments et désireuse de les partager avec vous, avant que les décisions
finales soient prises, l’équipe pédagogique E.D.P .I sollicite de votre haute bienveillance une
audience.
Nous vous remercions par avance de l’attention portée à ce dossier et vous prions d’agréer,
Monsieur le Recteur, l’expression de notre plus haute considération.
L’équipe pédagogique E.D.P.I du lycée Renée Bonnet
Copie envoyée à Mr Hespel IEN Génie Mécanique Construction, Mr Salon représentant
FCPE, Mr Font, secrétaire académique du SNETAA.

L'école française plus inégalitaire que les autres
- par FCPE
le 14/12/2010 @ 13:24
L'OCDE publie ce mardi sa grande enquête Pisa sur le niveau des élèves de 65 pays. Ce qu'il faut retenir pour la France.
Les élèves français? Moyens en compréhension écrite, plus si forts que ça en maths... Pas de quoi fanfaronner. Voilà pour résumer ce qui ressort de l'enquête Pisa, pour «Programme international pour le suivi des acquis des élèves». Depuis 2000, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) évalue tous les trois ans les systèmes éducatifs de 65 pays et mégalopoles comme Hong-Kong ou Shanghai.
L'enquête repose sur trois épreuves (compréhension de l'écrit, maths et sciences) et sur un entretien oral d'une demi-heure. Au total, ont été interrogés 470.000 élèves de 15 ans (quelle que soit leur classe, 3e ou seconde en France). Découvrez ici le graphique animé du palmarès.
Déjà peu glorieux en 2007, le tableau de la France ne s'arrange pas. Les principaux points de cette nouvelle enquête.
L'écart entre bons et moins bons élèves se creuse
En compréhension de l’écrit, la France ne s'en sort pas trop mal, avec un score de 496 points. Soit dans la moyenne des pays de l’OCDE (493 points) et comparable aux fois précédentes (la France affichait 505 points en 2000). Mais cette stabilité apparente cache une évolution plus inquiétante: si le contingent de bons élèves se maintient (et même se renforce un peu), les moins bons ont de plus en plus tendance à décrocher.
Cet «écart significatif» entre les meilleurs et les moins bons se traduit par «une proportion d’élèves performants en France au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE combinée à une proportion d’élèves en très grande difficulté scolaire elle aussi au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE», note l'étude.
Source: dossier de presse du ministère de l'Education
Dans le détail, en compréhension de l'écrit, la proportion de bons élèves en France a augmenté de 8,5% à 9,6% entre 2000 et 2009. Or, dans le même laps de temps, la proportion des élèves les moins performants a également augmenté, et de manière plus importante: ils étaient 15% en 2000, 20% en 2009, une proportion supérieure à la moyenne.
De la même manière, en maths, la proportion des moins bons a augmenté de façon significative entre 2003 et 2009, passant de 16.6 % à 22.5 %, tandis que celle des meilleurs élèves reste stable.
La mauvaise surprise des maths
Jusqu'ici, les maths ont toujours été le point fort de la France. Lors des précédents classements, les Français se positionnaient dans le haut du tableau. Mais voilà, la dernière enquête est sans appel: le niveau des élèves de 15 ans a dégringolé, avec une baisse de 14 points par rapport à 2003. La France a rejoint le groupe des «moyens» en maths avec 497 points (la moyenne est à 496), ex-æquo avec la Slovaquie. Et à un ou deux points de la Pologne ou de l'Autriche.
Source: Infographie Ide
Sur le fond, ces résultats ne sont pas catastrophiques, mais sont un mauvais signal pour la France qui décroche des médailles Fields (équivalent du prix Nobel pour les mathématiques). Comment expliquer cette baisse de niveau? A y regarder de près, la proportion de «bons élèves» ne baisse pas, en revanche, ceux qui ont des difficultés sont passés de 16,5% à 22,5%.
Les garçons prennent du retard sur les filles
Depuis dix ans, l'écart entre les sexes se creuse. Entre 2000 et 2009, les garçons ont décroché, notamment en compréhension de l'écrit. Résultat, les filles ont désormais 40 points d'avance sur leurs camarades masculins, contre 29 auparavant.
Les garçons restent toutefois devant en maths (seize points d'avance, contre douze points en moyenne dans les autres pays).
Garçons et filles sont en revanche à quasi égalité en culture scientifique, où les garçons n'ont engrangé que trois petits points d'avance.
L'école creuse les inégalités sociales
En France, le milieu socio-économique pèse plus qu'ailleurs. L'enquête Pisa questionne les élèves sur le statut professionnel et le niveau de formation de leurs parents, le nombre de livres à la maison, la langue parlée en famille... Il en ressort qu'en France, ces facteurs expliquent 28 % de la variation de la performance des élèves, contre 22% en moyenne dans l’OCDE. A titre de comparaison, ce pourcentage est inférieur à 18 % en Islande, en Israël, au Canada, en Corée et en Estonie, mais supérieur à 26 % en Autriche, en France donc, en Belgique et au Luxembourg.
L'étude montre que les pays qui accusent de fortes disparités socio-économiques ne les répercutent pas forcément à l'école. «Ce constat est important aussi, car il donne à penser que l’égalité des chances dans l’éducation est possible même lorsque le milieu socio-économique des élèves varie fortement», remarque l'OCDE.
Source: dossier de presse du ministère de l'Education
Les élèves issus de l'immigration à la traîne
En France, les élèves issus de l'immigration représentent 13% de l'échantillon interrogé, une proportion comparable à celle de la Belgique, des Pays-Bas ou du Royaume-Uni.
Ces élèves ont globalement plus de mal que les autres en compréhension de l'écrit. Les nouveaux arrivants (issus de la première génération) ont deux fois plus de risques de compter parmi les élèves «peu performants». Cette inégalité est commune aux autres pays étudiés, comme la Suède par exemple, mais il semble qu'elle soit particulièrement forte en France. L'écart entre les élèves immigrés de la première génération et les autres est de 79 points – soit l’équivalent de plus d’une année d’études – contre 52 points en moyenne dans l'OCDE.
La maternelle ne sert pas à rien
Menacée par les économies budgétaires, la scolarisation des tout-petits est régulièrement remise en cause. Les profs des écoles se souviennent encore avec amertume des propos de Xavier Darcos, alors ministre de l'Education, en 2008: «Est-ce qu'il est logique de faire passer des concours bac + 5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches?»
L'enquête Pisa remet les idées en place: «Les élèves qui ont été préscolarisés (qui ont été en maternelle, ndlr) pendant plus d'un an devancent les élèves qui ne l'ont pas été.» Et de beaucoup. L'écart en compréhension de l'écrit est de plus de 100 points en France, Belgique et Israël.
Plaisir de lire = meilleures performances
Les élèves qui prennent le plus de plaisir à lire obtiennent des scores nettement supérieurs aux autres. Jusque là, rien de très surprenant. L'enquête Pisa apporte des chiffres: en France, le plaisir de lire, même une demi-heure au plus par jour, explique 21% de la variation des performances. Une lecture variée est plus «rentable» en termes de résultats. Et de la même manière, lire en ligne (sur Internet) a également un «impact positif sur la performance», particulièrement en France. Enfin, les élèves de l'Hexagone déclarent plus que la moyenne des autres pays être incités par leurs profs à la lecture.
Source Libération du 14/12/2010
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L'OCDE publie ce mardi sa grande enquête Pisa sur le niveau des élèves de 65 pays. Ce qu'il faut retenir pour la France.
Les élèves français? Moyens en compréhension écrite, plus si forts que ça en maths... Pas de quoi fanfaronner. Voilà pour résumer ce qui ressort de l'enquête Pisa, pour «Programme international pour le suivi des acquis des élèves». Depuis 2000, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) évalue tous les trois ans les systèmes éducatifs de 65 pays et mégalopoles comme Hong-Kong ou Shanghai.
L'enquête repose sur trois épreuves (compréhension de l'écrit, maths et sciences) et sur un entretien oral d'une demi-heure. Au total, ont été interrogés 470.000 élèves de 15 ans (quelle que soit leur classe, 3e ou seconde en France). Découvrez ici le graphique animé du palmarès.
Déjà peu glorieux en 2007, le tableau de la France ne s'arrange pas. Les principaux points de cette nouvelle enquête.
L'écart entre bons et moins bons élèves se creuse
En compréhension de l’écrit, la France ne s'en sort pas trop mal, avec un score de 496 points. Soit dans la moyenne des pays de l’OCDE (493 points) et comparable aux fois précédentes (la France affichait 505 points en 2000). Mais cette stabilité apparente cache une évolution plus inquiétante: si le contingent de bons élèves se maintient (et même se renforce un peu), les moins bons ont de plus en plus tendance à décrocher.
Cet «écart significatif» entre les meilleurs et les moins bons se traduit par «une proportion d’élèves performants en France au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE combinée à une proportion d’élèves en très grande difficulté scolaire elle aussi au-dessus de la moyenne des pays de l’OCDE», note l'étude.
Source: dossier de presse du ministère de l'Education
Dans le détail, en compréhension de l'écrit, la proportion de bons élèves en France a augmenté de 8,5% à 9,6% entre 2000 et 2009. Or, dans le même laps de temps, la proportion des élèves les moins performants a également augmenté, et de manière plus importante: ils étaient 15% en 2000, 20% en 2009, une proportion supérieure à la moyenne.
De la même manière, en maths, la proportion des moins bons a augmenté de façon significative entre 2003 et 2009, passant de 16.6 % à 22.5 %, tandis que celle des meilleurs élèves reste stable.
La mauvaise surprise des maths
Jusqu'ici, les maths ont toujours été le point fort de la France. Lors des précédents classements, les Français se positionnaient dans le haut du tableau. Mais voilà, la dernière enquête est sans appel: le niveau des élèves de 15 ans a dégringolé, avec une baisse de 14 points par rapport à 2003. La France a rejoint le groupe des «moyens» en maths avec 497 points (la moyenne est à 496), ex-æquo avec la Slovaquie. Et à un ou deux points de la Pologne ou de l'Autriche.
Source: Infographie Ide
Sur le fond, ces résultats ne sont pas catastrophiques, mais sont un mauvais signal pour la France qui décroche des médailles Fields (équivalent du prix Nobel pour les mathématiques). Comment expliquer cette baisse de niveau? A y regarder de près, la proportion de «bons élèves» ne baisse pas, en revanche, ceux qui ont des difficultés sont passés de 16,5% à 22,5%.
Les garçons prennent du retard sur les filles
Depuis dix ans, l'écart entre les sexes se creuse. Entre 2000 et 2009, les garçons ont décroché, notamment en compréhension de l'écrit. Résultat, les filles ont désormais 40 points d'avance sur leurs camarades masculins, contre 29 auparavant.
Les garçons restent toutefois devant en maths (seize points d'avance, contre douze points en moyenne dans les autres pays).
Garçons et filles sont en revanche à quasi égalité en culture scientifique, où les garçons n'ont engrangé que trois petits points d'avance.
L'école creuse les inégalités sociales
En France, le milieu socio-économique pèse plus qu'ailleurs. L'enquête Pisa questionne les élèves sur le statut professionnel et le niveau de formation de leurs parents, le nombre de livres à la maison, la langue parlée en famille... Il en ressort qu'en France, ces facteurs expliquent 28 % de la variation de la performance des élèves, contre 22% en moyenne dans l’OCDE. A titre de comparaison, ce pourcentage est inférieur à 18 % en Islande, en Israël, au Canada, en Corée et en Estonie, mais supérieur à 26 % en Autriche, en France donc, en Belgique et au Luxembourg.
L'étude montre que les pays qui accusent de fortes disparités socio-économiques ne les répercutent pas forcément à l'école. «Ce constat est important aussi, car il donne à penser que l’égalité des chances dans l’éducation est possible même lorsque le milieu socio-économique des élèves varie fortement», remarque l'OCDE.
Source: dossier de presse du ministère de l'Education
Les élèves issus de l'immigration à la traîne
En France, les élèves issus de l'immigration représentent 13% de l'échantillon interrogé, une proportion comparable à celle de la Belgique, des Pays-Bas ou du Royaume-Uni.
Ces élèves ont globalement plus de mal que les autres en compréhension de l'écrit. Les nouveaux arrivants (issus de la première génération) ont deux fois plus de risques de compter parmi les élèves «peu performants». Cette inégalité est commune aux autres pays étudiés, comme la Suède par exemple, mais il semble qu'elle soit particulièrement forte en France. L'écart entre les élèves immigrés de la première génération et les autres est de 79 points – soit l’équivalent de plus d’une année d’études – contre 52 points en moyenne dans l'OCDE.
La maternelle ne sert pas à rien
Menacée par les économies budgétaires, la scolarisation des tout-petits est régulièrement remise en cause. Les profs des écoles se souviennent encore avec amertume des propos de Xavier Darcos, alors ministre de l'Education, en 2008: «Est-ce qu'il est logique de faire passer des concours bac + 5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches?»
L'enquête Pisa remet les idées en place: «Les élèves qui ont été préscolarisés (qui ont été en maternelle, ndlr) pendant plus d'un an devancent les élèves qui ne l'ont pas été.» Et de beaucoup. L'écart en compréhension de l'écrit est de plus de 100 points en France, Belgique et Israël.
Plaisir de lire = meilleures performances
Les élèves qui prennent le plus de plaisir à lire obtiennent des scores nettement supérieurs aux autres. Jusque là, rien de très surprenant. L'enquête Pisa apporte des chiffres: en France, le plaisir de lire, même une demi-heure au plus par jour, explique 21% de la variation des performances. Une lecture variée est plus «rentable» en termes de résultats. Et de la même manière, lire en ligne (sur Internet) a également un «impact positif sur la performance», particulièrement en France. Enfin, les élèves de l'Hexagone déclarent plus que la moyenne des autres pays être incités par leurs profs à la lecture.
Source Libération du 14/12/2010 
L'OCDE publie ce mardi son étude sur les résultats des élèves d'une soixantaine de pays et mégalopoles. Le classement.
- par FCPE
le 14/12/2010 @ 13:22
Tous les trois ans, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) passe à la loupe les systèmes éducatifs d'une soixantaine de pays et partenaires économiques. L'enquête Pisa 2009, publiée aujourd'hui, porte sur les compétences en compréhension écrite, cultures mathématique et scientifique des élèves de 15 ans. Découvrez ici le graphique animé du palmarès.
La France en tête des moyens
Les élèves coréens, connus pour leurs performances, n'obtiennent que la quatrième place en maths (546 points) et en sciences (538 points). En revanche, ils restent deuxième en compréhension écrite (premier si l'on s'en tient aux pays), à 17 points de Shanghai tout de même. Les Finlandais, aussi réputés pour la performance de leur système éducatif, suivent: troisième en compréhension écrite, cinquième en maths mais deuxième en culture scientifique. Voilà pour le haut du classement.
Et la France? Elle se positionne en tête des moyens, avec 496 points en compréhension écrite (22e place), 497 points en maths et 498 points en sciences. Parmi nos voisins européens, les Allemands sont meilleurs que nous, surtout dans les matières scientifiques. La France est en revanche devant les Anglais en compréhension écrite et maths. Et elle devance de sept places l'Italie et de onze l'Espagne en compréhension écrite.
Source Libération du 07/12/10
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Tous les trois ans, l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) passe à la loupe les systèmes éducatifs d'une soixantaine de pays et partenaires économiques. L'enquête Pisa 2009, publiée aujourd'hui, porte sur les compétences en compréhension écrite, cultures mathématique et scientifique des élèves de 15 ans. Découvrez ici le graphique animé du palmarès.
La France en tête des moyens
Les élèves coréens, connus pour leurs performances, n'obtiennent que la quatrième place en maths (546 points) et en sciences (538 points). En revanche, ils restent deuxième en compréhension écrite (premier si l'on s'en tient aux pays), à 17 points de Shanghai tout de même. Les Finlandais, aussi réputés pour la performance de leur système éducatif, suivent: troisième en compréhension écrite, cinquième en maths mais deuxième en culture scientifique. Voilà pour le haut du classement.
Et la France? Elle se positionne en tête des moyens, avec 496 points en compréhension écrite (22e place), 497 points en maths et 498 points en sciences. Parmi nos voisins européens, les Allemands sont meilleurs que nous, surtout dans les matières scientifiques. La France est en revanche devant les Anglais en compréhension écrite et maths. Et elle devance de sept places l'Italie et de onze l'Espagne en compréhension écrite.
Source Libération du 07/12/10 
Classement 2009 établi par l'OCDE
- par FCPE
le 14/12/2010 @ 13:18
1 - Plus forte que la Finlande, la Chine. Le record des records est battu non par un pays mais par une ville. Avec ses 22 millions d'habitants, la ville de Shangaï a autant d'élèves que bien des petits pays. Elle entre cette année au palmarès pour la 1ère fois et termine 1ère avec un score de 600 en mathématiques (contre 541 pour la Finlande), de 575 en sciences et de 556 en lecture.
2 - Les asiatiques bons en maths. Hong-Kong : score 555 ; Singapour 562, Tapei : 543… et la Corée 546. A l'image de ce dernier pays, qui a aussi multiplié par deux son élite en dix ans, le saut qualitatif opéré par les systèmes asiatiques est étonnant.
3 - Le come back de l'Allemagne. En 2000, ses résultats lui étaient restés en travers de la gorge. Les Allemands ont appelé cela le PISA-shock et se sont mobilisés. En lecture, ils sont gagné 13 points, en maths 10 et en sciences 4. Et ils nous ont dépassés au classement général.
4 - Un peu partout, les garçons sont sacrifiés. Une année d'étude. Voilà l'écart entre les garçons et les filles en France en compréhension de l'écrit. Aujourd'hui c'est comme si les filles avaient à 15 ans étudié le français une année de plus que les garçons. Cet écart entre les sexes qui existe partout dans l'OCDE est supérieur à la moyenne dans les pays d'Europe du Nord (hors Danemark).
5 - La France sauvée par ses bons élèves. Pisa 2009 confirme que nos programmes fonctionnent pour l'élite puisqu'on a légèrement grossi le groupe des meilleurs élèves ( de 8,5 % des élèves à 9,6 % en lecture) , alors que globalement ce groupe a plutôt décru dans le reste de l'OCDE.
6 - Où est passée la Finlande ? Troisième en lecture, 5ème en maths et 3ème en sciences, la Finlande a un peu perdu son image de première de la classe. Elle est devancée par la Corée dans le classement OCDE. Par Shangaï, la Corée, Hong-Kong et Singapour si l'on considère non plus le seul classement de pays de l'OCDE mais aussi celui des partenaires. C'est dans ce pays que s'observe l'écart le plus important de tous les pays de l'OCDE entre garçons et filles. Le différentiel s'y établit à 55 points contre 40 en France et 39 pour la moyenne des pays.
7 - Difficile d'être immigré. En moyenne, dans les pays de l'OCDE, les élèves immigrés de la première génération accusent des scores inférieurs de 52 points à ceux des élèves autochtones (écart de 79 points en France), un écart qui représente l'équivalent de plus d'une année d'études. La performance en compréhension de l'écrit en France s'améliore de 23 points (contre 18 en moyenne dans les pays de l'OCDE) entre les élèves issus de la première et de la seconde génération.
8 - Pourquoi la Suède chute. Entre 2000 et 2009, la Suède a libéralisé le choix de ses établissements scolaires. Les résultats du pays ont baissé parce que s'y est dessinée une géographie scolaire avec des établissements où les élèves obtiennent de bons scores et d'autres où les résultats sont bien moins bons.
9 - Les profs français les moins sympas… Dans les pays de l'OCDE, en moyenne 85 % des élèves déclarent être d'accord ou tout à fait d'accord avec l'affirmation "je m'entends bien avec mes enseignants" (contre 78 % en France) ; 68 % avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants écoutent réellement ce que j'ai à dire" (contre 62 % en France) et enfin 66 % avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants s'intéressent à mon bien-être" (contre 53 % en France). Ce qui dessine entre le prof français et l'élève une relation assez distante.
10 - … mais les plus efficaces. Lorsqu'il s'agit de travail, 79 % des élèves sont d'accord avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants me traitent de façon juste" (contre 88 % en France) ; 79 % avec l'affirmation "si j'ai besoin d'aide, mes enseignants me l'offrent" (contre 80 % en France). Au fil des ans, cette relation du prof français et de son élève évolue, puisque par rapport à PISA 2000 l'affirmation "la plupart de mes enseignants me traitent de façon juste" engrange une augmentation de 16 % de réponses positives entre 2000 et 2009.
Source: Le Monde.fr 07.12.10
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1 - Plus forte que la Finlande, la Chine. Le record des records est battu non par un pays mais par une ville. Avec ses 22 millions d'habitants, la ville de Shangaï a autant d'élèves que bien des petits pays. Elle entre cette année au palmarès pour la 1ère fois et termine 1ère avec un score de 600 en mathématiques (contre 541 pour la Finlande), de 575 en sciences et de 556 en lecture.
2 - Les asiatiques bons en maths. Hong-Kong : score 555 ; Singapour 562, Tapei : 543… et la Corée 546. A l'image de ce dernier pays, qui a aussi multiplié par deux son élite en dix ans, le saut qualitatif opéré par les systèmes asiatiques est étonnant.
3 - Le come back de l'Allemagne. En 2000, ses résultats lui étaient restés en travers de la gorge. Les Allemands ont appelé cela le PISA-shock et se sont mobilisés. En lecture, ils sont gagné 13 points, en maths 10 et en sciences 4. Et ils nous ont dépassés au classement général.
4 - Un peu partout, les garçons sont sacrifiés. Une année d'étude. Voilà l'écart entre les garçons et les filles en France en compréhension de l'écrit. Aujourd'hui c'est comme si les filles avaient à 15 ans étudié le français une année de plus que les garçons. Cet écart entre les sexes qui existe partout dans l'OCDE est supérieur à la moyenne dans les pays d'Europe du Nord (hors Danemark).
5 - La France sauvée par ses bons élèves. Pisa 2009 confirme que nos programmes fonctionnent pour l'élite puisqu'on a légèrement grossi le groupe des meilleurs élèves ( de 8,5 % des élèves à 9,6 % en lecture) , alors que globalement ce groupe a plutôt décru dans le reste de l'OCDE.
6 - Où est passée la Finlande ? Troisième en lecture, 5ème en maths et 3ème en sciences, la Finlande a un peu perdu son image de première de la classe. Elle est devancée par la Corée dans le classement OCDE. Par Shangaï, la Corée, Hong-Kong et Singapour si l'on considère non plus le seul classement de pays de l'OCDE mais aussi celui des partenaires. C'est dans ce pays que s'observe l'écart le plus important de tous les pays de l'OCDE entre garçons et filles. Le différentiel s'y établit à 55 points contre 40 en France et 39 pour la moyenne des pays.
7 - Difficile d'être immigré. En moyenne, dans les pays de l'OCDE, les élèves immigrés de la première génération accusent des scores inférieurs de 52 points à ceux des élèves autochtones (écart de 79 points en France), un écart qui représente l'équivalent de plus d'une année d'études. La performance en compréhension de l'écrit en France s'améliore de 23 points (contre 18 en moyenne dans les pays de l'OCDE) entre les élèves issus de la première et de la seconde génération.
8 - Pourquoi la Suède chute. Entre 2000 et 2009, la Suède a libéralisé le choix de ses établissements scolaires. Les résultats du pays ont baissé parce que s'y est dessinée une géographie scolaire avec des établissements où les élèves obtiennent de bons scores et d'autres où les résultats sont bien moins bons.
9 - Les profs français les moins sympas… Dans les pays de l'OCDE, en moyenne 85 % des élèves déclarent être d'accord ou tout à fait d'accord avec l'affirmation "je m'entends bien avec mes enseignants" (contre 78 % en France) ; 68 % avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants écoutent réellement ce que j'ai à dire" (contre 62 % en France) et enfin 66 % avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants s'intéressent à mon bien-être" (contre 53 % en France). Ce qui dessine entre le prof français et l'élève une relation assez distante.
10 - … mais les plus efficaces. Lorsqu'il s'agit de travail, 79 % des élèves sont d'accord avec l'affirmation "la plupart de mes enseignants me traitent de façon juste" (contre 88 % en France) ; 79 % avec l'affirmation "si j'ai besoin d'aide, mes enseignants me l'offrent" (contre 80 % en France). Au fil des ans, cette relation du prof français et de son élève évolue, puisque par rapport à PISA 2000 l'affirmation "la plupart de mes enseignants me traitent de façon juste" engrange une augmentation de 16 % de réponses positives entre 2000 et 2009.
Source: Le Monde.fr 07.12.10

Petition Pour YASMINA Lycée Déodat de Séverac Toulouse
- par FCPE
le 08/11/2010 @ 22:32
Voici le communiqué du comité de soutien à Yasmina : Permettez-nous de vous informer d’un grave problème qui touche notre communauté scolaire et pour lequel nous souhaiterions votre attention et votre implication. Une de nos élèves Yasmina, actuellement en 1ère année de BTS Génie optique, qui a fait toute sa scolarité au lycée Déodat de Séverac (Toulouse), est menacée de reconduite à la frontière. La police ayant cherché à l’arrêter chez elle (elle habite chez sa sœur qui l’a adoptée légalement), Yasmina se cache ; mais n’hésite pas à continuer de venir au lycée pour étudier malgré les risques encourus. Si elle est prise elle sera envoyée au centre de rétention de Cornebarieu et de là en Algérie. Pour récuperer la pétition http://fcpe.lyceedeodat.free.fr/spip.php?article51
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Voici le communiqué du comité de soutien à Yasmina : Permettez-nous de vous informer d’un grave problème qui touche notre communauté scolaire et pour lequel nous souhaiterions votre attention et votre implication. Une de nos élèves Yasmina, actuellement en 1ère année de BTS Génie optique, qui a fait toute sa scolarité au lycée Déodat de Séverac (Toulouse), est menacée de reconduite à la frontière. La police ayant cherché à l’arrêter chez elle (elle habite chez sa sœur qui l’a adoptée légalement), Yasmina se cache ; mais n’hésite pas à continuer de venir au lycée pour étudier malgré les risques encourus. Si elle est prise elle sera envoyée au centre de rétention de Cornebarieu et de là en Algérie. Pour récuperer la pétition http://fcpe.lyceedeodat.free.fr/spip.php?article51
Lutte contre l’absentéisme scolaire ? Une nouvelle loi qui pénalise les familles les plus modestes mais ne règlera aucun problème
- par FCPE
le 20/09/2010 @ 16:56
16 septembre 2010 : La FCPE dénonce le scandale que constitue cette mesure : anti-pédagogique et injuste socialement.
Le Parlement a adopté définitivement hier, après un ultime vote du Sénat, une proposition de loi prévoyant la suspension des allocations familiales pour absentéisme scolaire. Le Sénat a voté le texte conforme, c'est-à-dire sans y apporter de modifications, ce qui vaut adoption définitive par le parlement.
La FCPE dénonce le scandale que constitue cette mesure : anti-pédagogique et injuste socialement. Ce n’est pas en étranglant financièrement les familles qu’on les aidera à résoudre leurs difficultés. Cette mesure crée une inégalité de fait entre les familles !
Les plus favorisées et celles pour qui le montant des allocations familiales représente une grosse part du budget ne seront pas affectées de la même façon par la suspension de leurs allocations. Le « coût » de l’absentéisme pour une famille ne sera pas le même selon qu’elle a un, deux, trois enfants ou plus.
C'est dans l'Ecole qu'il faut chercher des solutions à l'absentéisme scolaire. C’est en redonnant du sens à leur présence à l’Ecole que l’on convaincra les élèves de la nécessité pour eux d’y être présents de manière assidue. C’est en assurant le remplacement de tous les enseignants absents que l’Education nationale démontrera l’importance de toutes les heures de cours.
L’absentéisme est un facteur majeur de l’échec scolaire contre lequel les autorités doivent se battre avec énergie. Pour combattre ce phénomène, il faut d’abord le prévenir. Pour cela, il faut en premier lieu que l’Etat cesse de reculer face à ses responsabilités notamment dans le domaine de la réussite éducative. Pour la FCPE, il faut mener les réformes nécessaires pour rendre l’Ecole publique attractive pour tous ; avec une pédagogie adaptée, un service d’orientation performant, une individualisation de parcours de formation aboutie et une Ecole qui ne laisse personne sur le bord du chemin.
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16 septembre 2010 : La FCPE dénonce le scandale que constitue cette mesure : anti-pédagogique et injuste socialement.
Le Parlement a adopté définitivement hier, après un ultime vote du Sénat, une proposition de loi prévoyant la suspension des allocations familiales pour absentéisme scolaire. Le Sénat a voté le texte conforme, c'est-à-dire sans y apporter de modifications, ce qui vaut adoption définitive par le parlement.
La FCPE dénonce le scandale que constitue cette mesure : anti-pédagogique et injuste socialement. Ce n’est pas en étranglant financièrement les familles qu’on les aidera à résoudre leurs difficultés. Cette mesure crée une inégalité de fait entre les familles !
Les plus favorisées et celles pour qui le montant des allocations familiales représente une grosse part du budget ne seront pas affectées de la même façon par la suspension de leurs allocations. Le « coût » de l’absentéisme pour une famille ne sera pas le même selon qu’elle a un, deux, trois enfants ou plus.
C'est dans l'Ecole qu'il faut chercher des solutions à l'absentéisme scolaire. C’est en redonnant du sens à leur présence à l’Ecole que l’on convaincra les élèves de la nécessité pour eux d’y être présents de manière assidue. C’est en assurant le remplacement de tous les enseignants absents que l’Education nationale démontrera l’importance de toutes les heures de cours.
L’absentéisme est un facteur majeur de l’échec scolaire contre lequel les autorités doivent se battre avec énergie. Pour combattre ce phénomène, il faut d’abord le prévenir. Pour cela, il faut en premier lieu que l’Etat cesse de reculer face à ses responsabilités notamment dans le domaine de la réussite éducative. Pour la FCPE, il faut mener les réformes nécessaires pour rendre l’Ecole publique attractive pour tous ; avec une pédagogie adaptée, un service d’orientation performant, une individualisation de parcours de formation aboutie et une Ecole qui ne laisse personne sur le bord du chemin.

Élections des représentants de parents d'élèves
- par FCPE
le 13/09/2010 @ 10:29
Élections des représentants de parents d'élèves
Chaque année, les parents d'élève élisent leurs représentants au conseil d'école et au conseil d'administration des collèges et des lycées. Pour l'année scolaire 2010-2011, les écoles et établissements choisissent selon le cas, le 15 ou le 16 octobre.
Les parents d'élèves élus au conseil d'école ou au conseil d'administration d'un établissement du second degré sont membres à part entière de ces instances participatives : ils ont voix délibérative. À la demande des parents, ces mêmes représentants peuvent assurer un rôle de médiateur auprès de la communauté éducative.
Dans le second degré : le conseil d'administration
Le conseil d’administration est l’organe délibérant de l’établissement. Il se réunit en séance ordinaire à l'initiative du chef d'établissement au moins trois fois par an. Il :
- fixe les règles d'organisation de l'établissement
- adopte le budget et le compte financier de l'établissement et le règlement intérieur et le projet d’établissement
- donne son accord sur les orientations liées au dialogue avec les parents d'élèves et la programmation et les modalités de financement des voyages scolaires
- délibère sur les questions liées à l'accueil et à l'information des parents d'élèves, les modalités générales de leur participation à la vie scolaire et les questions liées à l'hygiène, à la santé, à la sécurité
Quand allez-vous voter ?
Les élections se déroulent soit le 15 octobre, soit le 16 octobre 2010.
Comment allez-vous voter ?
Vous avez la possibilité d'exprimer votre suffrage au bureau de vote de l'école/de l'établissement fréquenté par votre (vos) enfant(s) ou de voter par correspondance.
Horaires d'ouverture
L'amplitude d'ouverture des bureaux de vote est de quatre heures minimum ; les horaires du scrutin doivent intégrer ou une heure d'entrée ou une heure de sortie des élèves.
Le vote par correspondance
- Il permet d'éviter les contraintes liées à un déplacement jusqu'au bureau de vote tout en présentant les garanties de confidentialité requises.
- Les conditions de ce vote sont clairement indiquées dans le matériel de vote transmis aux familles. Les documents relatifs aux élections comportent, outre la liste des candidats et les professions de foi, trois enveloppes numérotées garantissant l'anonymat du vote.
- Les enveloppes doivent parvenir au bureau de vote avant l'heure de la clôture du scrutin.
- Le vote par correspondance peut également être transmis directement par l'élève sous pli fermé.
Les écoles et les établissements sont dans l'obligation de constituer un bureau de vote.
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Élections des représentants de parents d'élèves
Chaque année, les parents d'élève élisent leurs représentants au conseil d'école et au conseil d'administration des collèges et des lycées. Pour l'année scolaire 2010-2011, les écoles et établissements choisissent selon le cas, le 15 ou le 16 octobre.
Les parents d'élèves élus au conseil d'école ou au conseil d'administration d'un établissement du second degré sont membres à part entière de ces instances participatives : ils ont voix délibérative. À la demande des parents, ces mêmes représentants peuvent assurer un rôle de médiateur auprès de la communauté éducative.
Dans le second degré : le conseil d'administration
Le conseil d’administration est l’organe délibérant de l’établissement. Il se réunit en séance ordinaire à l'initiative du chef d'établissement au moins trois fois par an. Il :
- fixe les règles d'organisation de l'établissement
- adopte le budget et le compte financier de l'établissement et le règlement intérieur et le projet d’établissement
- donne son accord sur les orientations liées au dialogue avec les parents d'élèves et la programmation et les modalités de financement des voyages scolaires
- délibère sur les questions liées à l'accueil et à l'information des parents d'élèves, les modalités générales de leur participation à la vie scolaire et les questions liées à l'hygiène, à la santé, à la sécurité
Quand allez-vous voter ?
Les élections se déroulent soit le 15 octobre, soit le 16 octobre 2010.
Comment allez-vous voter ?
Vous avez la possibilité d'exprimer votre suffrage au bureau de vote de l'école/de l'établissement fréquenté par votre (vos) enfant(s) ou de voter par correspondance.
Horaires d'ouverture
L'amplitude d'ouverture des bureaux de vote est de quatre heures minimum ; les horaires du scrutin doivent intégrer ou une heure d'entrée ou une heure de sortie des élèves.
Le vote par correspondance
- Il permet d'éviter les contraintes liées à un déplacement jusqu'au bureau de vote tout en présentant les garanties de confidentialité requises.
- Les conditions de ce vote sont clairement indiquées dans le matériel de vote transmis aux familles. Les documents relatifs aux élections comportent, outre la liste des candidats et les professions de foi, trois enveloppes numérotées garantissant l'anonymat du vote.
- Les enveloppes doivent parvenir au bureau de vote avant l'heure de la clôture du scrutin.
- Le vote par correspondance peut également être transmis directement par l'élève sous pli fermé.
Les écoles et les établissements sont dans l'obligation de constituer un bureau de vote.

Sanctions disciplinaires : l'agitation sécuritaire ne résoudra pas les problèmes de violences, la solution ne peut être qu'éducative et partagée !
- par FCPE
le 13/09/2010 @ 09:35
Lors du conseil supérieur de l’éducation du 1er juillet dernier, le ministre de l’Education nationale a proposé deux textes portant sur les sanctions disciplinaires à l’Ecole. Ces deux textes ont fait l’unanimité contre eux et face à l’avalanche d’amendements présentés par la FCPE et l’UNL, le ministre a finalement accepté de reporter l’examen des textes au 23 septembre prochain.
La FCPE et l’UNL sont en attente d’une concertation qui n’a toujours pas eu lieu. Elles regrettent d’apprendre par la presse les propositions non discutées que le ministre présente comme acquises et qui sont loin d’être partagées par les parents et les lycéens, et plus largement par la communauté éducative.

Les parents et les lycéens défendent la conception de la sanction éducative. Automatiser les procédures de sanction contrevient clairement à l’individualisation du traitement des faits de violences ou d’incivilité.
La FCPE et l’UNL refusent l’idée même de l’externalisation de la prise en charge des élèves en difficulté lourde dans des établissements de réinsertion scolaire, dont personne ne sait rien. L’école doit rester son propre recours, elle doit se mettre en mesure d’assumer la formation et l’éducation de tous les élèves.
La FCPE et l’UNL réitèrent leur exigence d’une concertation dans les meilleurs délais avec l’ensemble des acteurs de l’Education, dont le comité scientifique des Etats Généraux de la sécurité à l’Ecole. Elles restent convaincues qu’une refonte du système de sanction ne peut fonctionner que si elle est partagée par tous. Elles invitent également le ministre de l’éducation nationale à s’inspirer des propositions du rapport d’Alain Bauer qu’il a lui-même commandé.
Les discours et les décisions sécuritaires du gouvernement doivent cesser. La FCPE et l’UNL resteront déterminées à faire cesser les violences politiques menées à l’endroit de l’Ecole, des élèves et de leurs parents.
Contact presse :
FCPE : Laurence Guillermou 01 43 57 16 16
UNL : Antoine Evennou 06 08 91 72 54
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Lors du conseil supérieur de l’éducation du 1er juillet dernier, le ministre de l’Education nationale a proposé deux textes portant sur les sanctions disciplinaires à l’Ecole. Ces deux textes ont fait l’unanimité contre eux et face à l’avalanche d’amendements présentés par la FCPE et l’UNL, le ministre a finalement accepté de reporter l’examen des textes au 23 septembre prochain.
La FCPE et l’UNL sont en attente d’une concertation qui n’a toujours pas eu lieu. Elles regrettent d’apprendre par la presse les propositions non discutées que le ministre présente comme acquises et qui sont loin d’être partagées par les parents et les lycéens, et plus largement par la communauté éducative.

Les parents et les lycéens défendent la conception de la sanction éducative. Automatiser les procédures de sanction contrevient clairement à l’individualisation du traitement des faits de violences ou d’incivilité.
La FCPE et l’UNL refusent l’idée même de l’externalisation de la prise en charge des élèves en difficulté lourde dans des établissements de réinsertion scolaire, dont personne ne sait rien. L’école doit rester son propre recours, elle doit se mettre en mesure d’assumer la formation et l’éducation de tous les élèves.
La FCPE et l’UNL réitèrent leur exigence d’une concertation dans les meilleurs délais avec l’ensemble des acteurs de l’Education, dont le comité scientifique des Etats Généraux de la sécurité à l’Ecole. Elles restent convaincues qu’une refonte du système de sanction ne peut fonctionner que si elle est partagée par tous. Elles invitent également le ministre de l’éducation nationale à s’inspirer des propositions du rapport d’Alain Bauer qu’il a lui-même commandé.
Les discours et les décisions sécuritaires du gouvernement doivent cesser. La FCPE et l’UNL resteront déterminées à faire cesser les violences politiques menées à l’endroit de l’Ecole, des élèves et de leurs parents.
Contact presse :
FCPE : Laurence Guillermou 01 43 57 16 16
UNL : Antoine Evennou 06 08 91 72 54

CONSEIL DE CLASSES 3eme Trimestre
- par FCPE
le 20/05/2010 @ 15:05
La date des conseils de classe du 3ème trimestre est dans la boite DOSSIERS , section CONSEIL DE CLASSE...
La date des conseils de classe du 3ème trimestre est dans la boite DOSSIERS , section CONSEIL DE CLASSE... 
Dans le cadre du projet « Vivre ensemble »
- par FCPE
le 12/03/2010 @ 16:00
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